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Der Ort Bergues in Nord-Frankreich ist ja vor nicht allzu langer Zeit auch im deutschen Kino zu Berühmtheit gekommen. Nun legt Altmeister Jean Bruggeman (nicht mit der Mühlenbaudynastei aus Dingelstedt verwandt!) ein neues Buch über die Mühlen in und um den Ort herum vor.
Das Blöde ist nur, der Artikel weder den Titel noch den Verlag noch irgendetwas bibliographisch Verwendbares nennt - und amazon.fr kennt auch nur die uralten Bruggeman-Werke...
Wasch ischt dasch füa a Lühme mit ain Därpf davoa, näää?
Zitat von ultratrieurDas Blöde ist nur, der Artikel weder den Titel noch den Verlag noch irgendetwas bibliographisch Verwendbares nennt - und amazon.fr kennt auch nur die uralten Bruggeman-Werke...
Tja, dann muss man sich eben anders behelfen ... und siehe da:
Zitat Les moulins de l’arrondissement de Dunkerque, Tome 4, Canton de Bergues, par Jean Bruggeman
Bergues, chef-lieu de canton mais aussi de l’ancienne châtellenie, qui d’ailleurs dépassait le cadre du canton actuel. Bergues, longtemps rivale de Dunkerque car bien plus ancienne que cette dernière. Elle fut chef-lieu de 1790 à 1804. C’est autour d’elle que l’on trouve la plupart des moulins, surtout à huile, comme c’est le cas de toutes les villes d’une certaine importance.
Ici aussi pas un seul moulin à eau, mais 57 moulins à vent recensés, dont une dizaine de tordoirs, et 2 moulins à tan. Tous sont des moulins traditionnels sur pivot, sauf deux érigés au XIXe siècle, à galerie circulaire, et qui n’ont pas atteint le XXe siècle, malgré tout. Vingt manèges ont été retrouvés, mais il est fort possible qu’il y en ait eu plus.
Le canton est composé de 13 communes : Armbouts-Cappel, Bergues, Bierne, Bissezeele, Crochte, Eringhem, Hoymille, Pitgam, Quaëdypre, Socx, Steene, Wylder et West-Cappel. Ces deux dernières, ainsi que Bissezeele, n’ont eu qu’un seul moulin, les autres de deux à trois, sauf autour de Bergues.
Un moulin est parti en Belgique au lendemain de la Grande Guerre pour remplacer un moulin détruit par les Allemands. Il disparaît en 1946. Un autre a remplacé celui de Coquelles, également détruit par les Allemands, mais en 1940. Renversé par la tempête en 1978, il a été reconstruit grâce à l’ARAM.
Finalement, le dernier qui fut en activité est aussi le dernier survivant ; au nom symbole de la Flandre : le moulin du Lion à Pitgam. Il a bien failli lui aussi disparaître, mais grâce à la ténacité de quelques hommes il a été sauvé, et fait de nouveau farine occasionnellement, dans un site aux horizons grandioses.
Ce beau livre, de plus de 260 pages, contient de nombreuses photographies, dont le reportage complet du remontage du moulin de Pitgam à l’ancienne. Photos uniques. Impression noire et quadrichromie, sur papier semi-mat. Brochage cousu au fil de lin. Couverture cartonnée.
Vendu en souscription au prix de 59 € jusqu’au 25/11/2011. Après cette date, son prix sera de 65 €. Frais d’envoi par la poste 9€ (France métropolitaine). Europe 20€. Parution début décembre. Tirage limité à 200ex. Les ouvrages seront à retirer au siège de l’ARAM-Musée des Moulins, rue Albert Samain – 59650 Villeneuve d’Ascq. Chèque à l’ordre de l’ARAM Nord-Pas de Calais, Tél 03.20.05.49.34 Mail jeanbruggeman@nordnet.fr
OK, ich erblasse vor Neid vor Deinen Französischkenntnissen
€ 79,- ist mir das in der Tat nicht wert (sorry Jean!) und bei limitierter Auflage von 200 Stück hätte ich ja sowieso keine Chance, ein Exemplar zu ergattern... andererseits, so enorm wie das Interesse an Windmühlen in Frankreis ist, könnte das vielleicht die nächsten zehn Jahre reichen .